Le plaisir de la côte

la côte grammaticale
grammarendislands
la côte périme les attitudes grammaticales
avoir reconnu la possibilité d’observer au même instant un très-grand nombre d’angles, je jugeai qu’il falloit encore chercher le moyen le plus sûr et le plus facile de désigner les positions auxquelles appartenaient ces angles, soit qu’ils fussent pris d’une station à la mer, ou d’une station à terre l’emploi des lettres de l’alphabet et des chiffres pour désigner des objets qui n’avoient point encore de nom, conduisoit, il es vrai, au but qu’il falloit s’efforcer d’atteindre; mais, en se bornant à ce moyen, l’on s’exposoit à commettre des erreurs d’autant plus grave, qu’il n’y avoit pas à espérer de vérifications
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Comment une côte, qui est du langage, peut-il être hors des langages?
Si je lis avec plaisir cette côte, c’est qu’elle est été écrits dans le plaisir. J'ai pris l'habitude de me faire des mots et que j'ai maintenant une langue à moi seule. Langage fluide, sans suffixes, ni préfixes, ni raciness. Les mots féminins, je les mets au masculin; la mer, la terre, la nuit sont devenus des êtres d'un autre sexe que le mien. Je me faire des mots dans des cahiers écrits au crayon dont les traces ne risquent pas d'être effacées par l'eau de mer, et que l’encre se résorbe... Vous savez tout.
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